follow me on instagram !

Rechercher dans ce blog

29 déc. 2011

experience the warmth



Ναυτεία

période de fêtes de fin d'année, forcément, je ne suis pas trop là. plus cette nausée omniprésente depuis des jours et des jours, des médocs en quantité, mais toujours cette sensation d'oppression, usante.

heureusement, mon petit bout de vie est là, ma petite nièce qui vient dormir à la maison, sa respiration et son sourire même en plein sommeil. et son odeur. toute chaude. et son rire. aaaah, Noël, que c'est chouette quand il y a un enfant dans les parages.

demain soir, je repars. je trouverai bien la force d'aller à la gare. celle qui m'a fait défaut aujourd'hui pour trouver un médecin.

purée, vivement l'année prochaine, j'en peux vraiment plus.
même si au fond de moi, je sais bien que rien ne changera vraiment.
mais je serai au moins près de lui.
lui, lui, lui.

allez, c'est l'heure de boucler ma petite valise de voyageuse.

merci, lecteurs de l'ombre, toujours là, ces statistiques qui grimpent, qui grimpent.

très bonnes fêtes à tous !

19 déc. 2011

the One


Levi's, mon ami.



si naturellement jolie sans efforts. 
c'est vraiment pas juste.

(et ici, au lieu de boucler mes cadeaux de Noël, j'ai dormi 17 putain d'heures, je suis boutonneuse et je perds du sang.
zéro effort, forcément. 
mais bordel, elle aussi, ça se trouve, là, au moment de la photo, elle a un tampax dans la culotte. et sinon, elle aussi, femme punie, qui saigne chaque mois de sa vie, mais elle, c'est sûr, malgré le stylisme sobre et efficace, malgré la coiffure et le maquillage, elle est belle, juste belle, juste comme ça, sans effort, chaque mois, chaque jour de sa vie. pfff, c'est vraiment pas juste, non).


(rhaaaa, et cette table, je la veux).

16 déc. 2011

ah oui, lecteurs turcs, passez votre chemin.

car je ne suis qu'une enfant d'Arménie,
à l'ennemi, je ne tends pas la main...
fuck off.

say what, say what


à côté.

ça faisait longtemps, tiens.
ma tête avec de la merde dedans. 
saletés de cycles à la con. 
c'est fatigant de ne jamais se sentir à sa place, d'être toujours dans le questionnement. tout ce travail. tout le monde ne le fait pas, parait-il. ma collègue parle de "richesse". je ne sais pas bien. je n'arrive pas à me fixer. cette "richesse" reste un travail, usant, la plupart du temps. ça bouffe la vie, quand même.

je supporte de moins en moins les parisiens, la jeunesse parisienne, la vie parisienne, et plus que tout, ces transports, cette lutte quotidienne, supporter les odeurs des usagers, de leur bouffe, leur mauvaise haleine, écouter leurs conneries, devoir soutenir le regard d'un putain de connard qui bloque agressivement sur la croix que je porte autour du cou, toute cette misère humaine que je croise, ces gens qui parlent tout seuls, qui ont perdu la tête, ceux qui n'ont rien à bouffer, ceux qui n'ont pas la chance de se laver tous les jours, tout ça, tout ça m'épuise parce que ces temps-ci,  je n'arrive pas à prendre le recul nécessaire.
et ça me fait chier de me plaindre.
j'ai pas envie de me plaindre.
j'ai envie d'être quelqu'un de meilleur, mais je n'y arrive pas.
parce que mon quotidien me fait chier quand je suis loin de lui, parce que j'arrive pas à m’ôter de la tête que je n'irai pas mieux tant que je n'aurai pas fait cette transition, tant que je n'aurai pas pris un aller simple. et j'ai encore cette putain de peur, me voiler la face, être dans la fuite, dans une mauvaise projection, une vision biaisée, faussée.
ça aussi, ça m'emmerde. 

et m'éloigner de ma trinité.
et de ma beauté, ma vie. 
un enfant dans une vie, c'est quelque chose.
le mien, un jour.
(ok, place aux choses sérieuses, du coup : passer ce permis à la noix et apprendre à cuisiner autre chose que des tagliatelles carbonara et du gratin de brocolis foireux).

trouver une robe noire.
boucler les derniers xmas gifts.
faire de jolis paquets cadeaux.
rêver au printemps, se dire qu'il viendra, dans quelques mois. 
que c'est une chose certaine.
collecter d'autres photos d’intérieurs chaleureux, différents. idées déco.
concrétiser tout ça, bientôt.
avec mes petits moyens.
croire que c'est possible, bon sang.

j'ai la chance de ne pas être seule.

putain, c'est juste que j'ai toujours été gâtée et que je suis une impatiente terrible.
et puis, je suis fatiguée physiquement.


10 déc. 2011

Paris, Amour et Beauté

des journées à la con, je bouffe mal (sauf chez mon chéri), plats préparés, micro-ondes en speed, mal au ventre, je vois des trucs moches, des gens agglutinés autour d'un malaise ou d'un accident, de quoi avoir un truc à raconter à table, le soir, moi je regarde pas, je galère à fendre cette foule de cons, un type qui insulte une mendiante (et moi avec), prêt à la cogner, la crasse parisienne, normale, habituelle. toujours des tas de gares, métros, TGVs et autres TERs, Rethel, Charleville, Sedan, Gare de l'Est, Saint Placide, Reims, Reims avec Woodkid qui monte à bord, Creepers moches et jean qui ratatine, mais bordel, ce type qui ressemble à rien, c'est Iron, et ça, c'est juste magnifique. don't judge a book by its cover, hein. mes cheveux sont sales, tiens. je les attache trop souvent. je ressemble à rien, je me fringue toujours pareil, chiant, moche. le shopping me manque un peu, mais je reste raisonnable. plus aucune vie sociale, trop fatiguée. plus de musique, trop mal à la tête. quelques films tout de même, calée contre lui, Hitchcock et Cronenberg. par contre, pour ce qui est des sorties en salles, je suis plus au courant de rien, complètement larguée (excepté Extremely Loud And Incredibly Close, qui sort en 2012. attente). en gros, je commence sérieusement à me couper du monde et je n'arrive même pas à déterminer si c'est grave.

pas vraiment la joie, vivement le printemps. rien à faire, l'hiver ne me réussit pas.


26 nov. 2011

eclecfunk !

et vite fait :

eclectek, un groupe de lillois super (z)héros qu'il est bien.
et , aussi.

(photo chopée sur leur facebook)








(ça, c'est moi en ce moment)
























[LISTENING TO : Isadore, from the album If not now, when ? - INCUBUS]


et pour ceux que ça intéresse, ça ressemble à ça :



et c'est vrai qu'Incubus est devenu un groupe de midinettes, mais finalement, 
who cares ? comme dirait le Boyd, whatever tomorrow brings, i'll be there.
je les suivrai jusqu'à la mort.

23 nov. 2011

i don't care where just far...















j'ai la tête ailleurs. je suis dans mes pensées.

sinon, United States of Tara et du Kinder chocolat.
sauf que j'en ai plus là.
et ça me rend dingue.

sinon, je garde mes sous et je suis contente.
bon, à part ma petite Casio à 18 euros, okay.
mais 18 euros en un mois, c'est quand même pas grand chose, si ?
j'avais pas de montre, c'est même pas de l'impulsion.
et le pire ? j'ai pas envie d'aller faire les boutiques à côté de ça.
du coup, à part gâter mes amours à Noël, yay, des sous sur mon compte !
je peux commencer à rayer ça tout doux sur ma liste.

mars approche. février, peut-être ?


19 nov. 2011

we all float face down

il fait froid, bordel.
je veux le printemps. l'été.
je veux bouger.
je veux du blé.
et faire plein de cadeaux.
je veux une petite robe noire et être belle pour lui, et notre passage en 2012.
je veux d'autres concerts avec ma jolie S.
apprendre à me maquiller.
regarder d'autres vieux films en noir et blanc, dans ses bras.
et continuer de trier et d'organiser.

mais là, tout de suite, je crois bien que je vais aller me coucher.



[LISTENING TO : Warning, from the album Morning view - INCUBUS]


the mediator between head and hands must be the heart


... and we've come this far lover




























Incubus, Zénith, 17novembre2011, photo chopée chez mademoiselletaschatt
Brandon Boyd, la voix de Dieu.


3 nov. 2011

untitled


mon coeur qui cogne, un truc esthétique...







ai vu les photos de mon futur chez moi, de notre chez nous.
je suis toute bouleversée. 
j'aurai un joli jardin, un beau bureau. 
on aura une chambre lumineuse.
j'essaye de rester tranquille, de garder la tête froide. ce ne sera pas tous les jours facile, mais aujourd'hui, je suis apaisée et je m'autorise à aller bien.

j'ai repensé à Héloïse, tard hier soir. j'ai pleuré comme une enfant. elle me manque beaucoup. c'était ma chienne avec sa langue de côté et sa gueule toujours cracra.

j'ai envie de rattraper le temps perdu. je crois que j'y arrive, un peu. 
forcément, ce n'est pas assez.
je ne devrais pas parler de temps perdu, bien sûr, puisque tous ces moments à la con, font que là, tout de suite, novembre 2011, 22h32, je me sens simplement très bien.

le Stupeflip Crou en live, aussi. quel bon moment. 
je suis un peu amoureuse de King Ju, obligé. je resterai groupie jusqu'à la tombe.
bien évidemment, s'il retire sa cagoule dégueulasse, je vais vite redescendre sur terre.
quand il fait chanter Pop Hip, j'ai déjà un aperçu de l'éventuelle déception.
mais bon sang, La menuiserie, La religion du Stup, Les monstres... et Stupeflip vite. ce flow, et sa voix en interview, et son rire un peu bizarre. ce type coléreux, effrayant et forcément attirant. créateur de cet univers barré, je peux pas m'empêcher de succomber, je rejoins le Monastère, volontiers.

demain, je passe à un autre groupe. je ne sais pas encore lequel.
Incubus arrive, mais je m'en fous.
Gogol Bordello ? 
tiens, un autre taré, en un peu moins glauque.
on verra bien demain.

j'ai corné plein de pages dans le catalogue ikea.
j'ai envie de bois, de beau linge de maison. 
apprendre à poser du carrelage, créer un cocon, avec lui.
tu dois me lire, je radote, Amour.
comme d'habitude.







31 oct. 2011

cette semaine, j'ai raté un concert de Skip the use, j'me suis fracassée la gueule sur un quai de métro, j'ai mangé pas mal de poulet tikka, de chocolat au lait, j'ai écouté Stupeflip en boucle, j'ai cassé une assiette, j'ai explosé mon jeu tetris style sur mon vieux samsung, j'ai dévoré Jude R. de Shaké Mouradian (j'en reparle peut-être bientôt), j'ai pas arrêté de courir pour choper des RER, j'ai skypé, j'ai fait un tas de vieux trucs à déménager (cds, livres, dvds), j'ai eu la gerbe, j'ai dormi plus de 15 heures sur une journée, j'ai mangé 3 fruits et j'ai encore écouté le Stup Crou.










[LISTENING TO : Lucidity, from the album InnerSpeaker - TAME IMPALA]


28 oct. 2011

c'est bientôt le pestak !





ce premier novembre Stup danse à l'Olympia, réunion de lapins, l'heure de se frotter au Crou !
en attendant, c'est l'invasion des radios pourries, NRJ et compagnie.
parce que la seule solution, c'est le Stup Monastère et ses soixante prières ! ♪

my railway






































[LISTENING TO : Krou Kontre Attakk, from the album Stup Religion - STUPEFLIP]

23 oct. 2011

douze singes volants

moules frites en débardeur face au Belfort de Bruges, zombies rue du Roi de Sicile, tiramisu au Nutella chez Prosper (1), vitamine C, Charles Bukowski, les Moulins de Bruges, ma main sur la relique du Saint-Sang, Super Bijou Quête level 25, Wonderland, mon putain de Panasonic qui me pète dans les mains, et mon Pod qui fait chier, une carte 12/30 ans édition limitée, yeah !, Namur, Bruxelles, Sedan, Châtelet les Halles, scampis de malade et tarte au pommes de fou chez Gruuthusehof (2) avec mon amoureux, oui, ma vie, c'est un peu et toujours mon amoureux depuis des mois, ok.


(1) une infidélité à celui des Puces des Batignolles, je répare ça au plus vite
(2) à nos souhaits



10 oct. 2011

octobre 2011

rien de spé à raconter, du bordel autour de moi, de la paperasse, des livres (Bukowski, enfin !), des fringues par terre, des fringues au sale, des fringues en vrac, des fringues. 

je dors bien, ces temps-ci. trop même. je me lève en retard, parce qu'une fois les yeux ouverts, je rêvasse au lit et je me rendors la tête pleine de trucs chouettes.

j'amasse des photos de déco en quantité, et je rêve encore.

que c'est plaisant tout ça.

et le week-end qui s'annonce, aaah... des trains, changer de décor, et le retrouver.
(et je continue d'être complètement niaise ici, et ça ne me pose aucun problème).

ah, j'oubliais. j'ai découvert ce type, Sam Hessamian. de la folie.








stars and stripes


1 oct. 2011

apocalypse demain


j'avais un peu peur lorsque j'ai vu ça sur le trottoir, près de la Bibliothèque François Mitterrand. c'était il y a quelques mois. aujourd'hui, ça va beaucoup mieux.

[LISTENING TO : †hholyghs†, from the album EP † - ††† (CROSSES)]

29 sept. 2011

the soundtrack of NOW



il y avait cet article récemment, sur parano.be, un questionnaire RCK comme il y en a souvent (tout du moins, à la grande époque).
je n'ai pas pris le temps d'y répondre sur le moment, pour mieux y revenir... ce soir.

on s’accroche !

Votre chanson préférée ? celle du moment ou celle qui vous a toujours fait décoller ?
Reptilia des Strokes (sans déconner), Bittersweet symphony de The Verve, Division Street de Thursday, Black soul choir de 16 Horsepower, Deftones et 7 words, Midlife crisis, Faith no More ou bien encore The Pretender des Foo. 
enfin, Major et Piano de glassJAw (version live ici, pas évident de trouver des liens de qualité quand on doit lâcher l'ordi, là viiite).
en ce moment, Lana Del Rey et son Video Games et Stupeflip du Crou cracra.

Votre groupe phare ?


Votre groupe déclic ? d'un coup, se dire "rock'n'roll can never die \m/
 Bon Jovi ?


Le premier groupe que vous avez été voir en concert ?
... Bon Jowwi à Bercy, 1996, 14 ans et demi !


La musique de votre enfance ? 
(et si ce n'est pas rock, c'est tout aussi bien, histoire de voir d’où vous venez).
enfance, enfance, le Club Do'.
toute jeune, M Jay, "for you're always in my heart".
pré- et adolescence... on est encore enfant à 10/12/14 ans, n'est-ce pas ? en tous cas, j'aime à penser que ma génération était encore naïve back in those days. dans mon cd player, c'était Brit pop. Pulp, Suede, Blur, Kula Shaker, Geneva, Oasis etc, c'était les soirées Best of Pop/Rock sur M6 tard dans la soirée. et REEF, bien sûr ! et guetter les Brit Awards et tout ça.


Le style/genre/groupe que vous haïssez le plus ?
le zouk, et la compagnie créole (c'est de la musique, ça ?) et sûrement tout plein d'autres genres que je ne maîtrise absolument pas (doom ? hard-tech ? etc). 
et puis bien sûr, les Tryo, Sanseverino, Zazie, Benabar, Sinsemilia, Thomas Fersen, mon cul, toute cette vague variétoche française prise de chou/festive à deux balles/à la mord-moi-le-noeud. enfin ça, ça coule de source.


Celle qui vous laisse indifférent ? Celle qui ne vous touche pas spécialement, que vous n'aimez pas à la folie mais que vous ne détestez pas non plus (juste milieu, quoi)
aucune. 
en tous cas, c'est ce que je veux croire. 
je suis prête à écouter ce qu'on me conseille, qu'on recommande un peu partout (je suis pas contre les buzz et l'engouement général). ce que je cherche, ce sur quoi je tombe quand je fouine un peu, au hasard d'un blog musique, mode, de rencontres. quelle qu’il soit, le son ne peut laisser indifférent. il y a de l'émotion, des émotions, du ressenti en jeu. c'est pas rien.


La musique/chanson que vous avez honte d'aimer... mais c'est plus fort que vous !
mon petit plaisir honteux : la dance de mon enfance, les 2 unlimited, Vanilla Ice, Mini Vanilli en playback, haha, and so on.
mais c'est connu, la honte, c'est bon !
dans le fond, j'assume tout, un peu de Rihanna par ici, un peu de Bee Gees par là, je ne suis pas (tout le temps) sectaire.


Celle que vous pouvez entendre des millions de fois sans vous lasser ?
en ce moment, Bridges par Fallulah.
toute ma vie, Ape Dos Mil de glassJAw, et A.D.I.D.A.S de KoRn


Le matin tête dans le..., vous mettez quoi  ?
le Crew cité au-dessus, Ceremony, Deftones, LADY GAGA !
ou alors du calme, parfois, Jenny Lewis, Morcheeba, des trucs pop faciles.


La musique sur laquelle vous aimez faire du saikse. Curiositééé.
oh et bien, quand ça commence, la bande-son de ma vie, c'est-à-dire ce qui tourne en l'instant puis après je n'entends plus grand chose, si ce n'est la respiration de mon homme, les battements de son cœur, nos chuchotements, nos murmures, notre musique, notre duo.
que c'est beau !
et puis après tout ça, je récupère mon audition, je reprends conscience tout doucement, petit à petit. ou plus vite, c'est selon.

sinon, j'ai récemment découvert que le son de Xibalba ne me laissait pas indifférente.
finalement, tout est lié, cercle vertueux, la personnalité, la personne qui partage l'instant, les goûts et attirances personnels.


"bonne lecture, et à bientôt sur thehurricanediary".


where the eff is my bathing suit

ai jeté un coup d'oeil plus ou moins rapide en boutique Yellow Korner tout à l'heure et
aaahhh...  Pebble Beach par Slim Aarons
(oh ! le gus s'appelle comme la coupe de jeans qui me va le mieux !)
(okay, je suis tellement attardée).


et aaahhh... le Lake Tahoe, Nevada






































il va falloir que je me calme, nom de Dieu.

bilan.

...
donc, ça, là, c'était il y 3h30, environ.
moche, hein ?

il est 8:12, et au lieu de grappiller des minutes de sommeil,
je me suis levée comme un zombie et...
bon, ben, je suis en avance maintenant.

et fraîche ! et pimpante !
... enfin, dehors avec le maquillage et tout le bordel, n'est-ce-pas.





parce que dedans,... bouh, on se sent plutôt fanée.

life is but a dream

- un abonnement Jalouse ou Glamour ou Elle
... ou Courrier International
- un bijou Low Luv x Erin Wasson
- ce livre : Live... Suburbia ! par Anthony Pappalardo et Max G. Morton
     ... ou bien celui là : Punk Love par Susie J. Horgan
   ... ou encore le White fluffy clouds par Brandon Boyd (ou n'importe quel autre livre du Brandon)
- les mocassins cloutés Claudie Pierlot
- un original music shirt genre Madonna style
     ... ou un tee from Maison Labiche genre le Cobain parce que, oui, je suis trop con à kiffer des tee-shirts à plus de 50 putain d'euros, pour le coup, je suis la fille qui se veut hype, mais qui est complètement à côté de ses pompes. mais oh ! ça va bien, hein, c'est pas comme si j'étais une serial serial shoppeuse. dépenser pour de la connerie de ce genre, ça m'arrive une fois tous les trente six du mois, pour ne pas dire jamais, donc ça n'est pas si méchant, si ? 
okay, j'ai honte. 
un peu. 
- un beau Levi's (parce que mon petit tour en friperie rue Tiquetonne n'a pas porté ses fruits. bon, j'avais un peu la flemme, aussi)
- Metropolis ! (bientôt l'expo à Bercy)
- aaah, et l'édition 4 vinyles de Nevermind, le 20ème anniversaire
     ... avec le deeveedee Live at the Paramount, évidemment
- n'importe quoi de la collection Alexa Chung pour Madewell genre briefcase bag, scarf, belt, what--ever
- des boucles d'oreille fashionology,
     ...ou... aaaahhh ! (encore) (je suis tellement basique)
(et j'en ai rien à secouer)
- une photo d'art Yellow Korner (toujours)
- le DVD du Dylan (je suis tellement une groupie)
- une montre vintage AA (Seiko, Philip Persio, et cetera)
- une vieeeiiille machine à écrire mecanique Olivetti style, mais vieille, foutue, and i mean it
- un permis de conduire (et, chose incroyable ! je m'enflamme : j'ai déjà investi dans un petit bouquin bonhomme Michelin)


et donc, nuit blanche, hein.
j'ai chaud.
bordel, j'en puis plus.
alors ce pense-bête.
une liste !

et toutes ces choses,
je suis tellement, tellement superficielle.
mais je me ferai plaisir tout de même.

ah !
- un petit quelque chose pour mon homme aussi (Fred Perry, oh oui !)
- un joli quelque chose pour mon rayon de soleil, mon cœur, ma vie, mon amour, ma fleur, ma beauté, ma chérie, ma vie, je l'ai déjà dit, ma poupée, mon amour, ma vie, ma nièce, ma... aaah, parce que merde, plaisir d'offrir.
et puis, bientôt huit années de vie sur Terre.
- un je ne sais quoi pour ma sista (tu veux quoi, dis, un jour ?)
- un resto avec A. quand elle reviendra des champs.
plaisir d'offrir, je dis.

je suis fatiguée.
faudrait pas que je commence à avoir la dalle.
parce que les casseroles de pates massacrées minuit passé, c'est bien plus cool avec lui. je ne veux pas me goinfrer seule. je veux des pates aux olives avec lui. je veux de la pomme de terre avec lui.
je suis tellement, tellement midinette, fleur bleue.
tellement sentimentale gnan-gnan.
et qu'est-ce-que j'aime ça.

hou, je parle toute seule ici ou bien ?
enfin je m'en fous, je veux garder une trace. d'aujourd'hui. deux mille onze.
et se profile encore un décembre rue de Rennes, biens culturels.
bien, bien, bien.
je vais constituer des albums photos aussi, petit à petit.
c'est important la famille.
peut-être recommencer mes carnets d'ambiance et de looks.
c'est important de s'occuper.
me mettre à la cuisine.
... nan, je déconne.
plus les yeux en face des trous, on est plus très sérieuse quand on est occupée à être surexcitée la nuit, putain de bordel de merde.

(V., je sais, désolée, vulgaire ici).

qué roman.
et ça y est, je parle la Belgique.

et voilà que je commence à avoir faim. vraiment.
mince.

03:01.
mon lit, mon superbe lit, matelas parfait, couette légère...
je me le tente ?
c'parti.

28 sept. 2011

yeah.


cheesy, indeed.





bon, bien sûr, toutes ces images, tous ces visuels, merci Yayo, ffffound, nonclickableitem, dethjunkie et autres merveilleux sites et blogs.
ça devait être précisé, il y a un moment de ça.
c'est réglé.

[LISTENING TO : Rooster, from the album Dirt - ALICE IN CHAINS]

27 sept. 2011

26 sept. 2011


rho, la Bamba Triste qui sort dans mes mots-clés de recherche. 
et des lecteurs depuis le Costa Rica et le Mexique, j'aime bien ça. pays lointains.
j'ai Le Messie du Mal de prévu avec mon homme. America, America aussi.
sinon, j'ai la gerbe depuis trois jours, et la tête farcie. et le ventre en vrac, aussi.
et le concert de Lana Del Rey est complet, et je suis passée à côté des places. scheibe.
et putain, ce que c'est chiant de trier de vieux papiers, banque, bordel.
ah, j'ai deux trois fringues à vendre aussi, faudrait que je me décide un jour à les foutre online, 
j'ai du maje tout neuf, sûre que ça partira facile.
ménage again, quoi. 
mettre un peu les choses à plat.
ma vie est passionnante.

enfin, oué, la motivation et tout. 
sérieusement. 
parce qu'à partir de ce jeudi, c'est parti !
les choses s'enclenchent bien, doucement, mais... 

purée, ça fait du bien.


[LISTENING TO : L'Epouvantable épouventail, from the album Stupeflip - STUPEFLIP]

24 sept. 2011




ah oué, donc.
la soirée anniversaire Nevermind au Grand Rex, bon sang, ce concert de Seattle, 1991, j'avais 10 ans, j'avais même pas encore découvert le Nirvana, bon sang, c'est pas comme si je faisais pas de concerts, déjà à l'époque, bon, okay, à quelques années près, même si tous ces concerts, encore aujourd'hui, ce n'est jamais assez,  même si à l'époque, ce n'était pas forcément les groupes d'une génération, de toutes façons, ça n'existera plus, des générations comme celle-là, comme la nôtre, elles seront jamais à la hauteur de notre adolescence, tous ces groupes qui sortaient, la presse musicale à fond, le Parklife de Blur, Oasis, Nirvana, bon sang. 
ce concert de Seattle, Dave Grohl qui sue des litres sous sa casquette, c'est vrai que de voir ce type derrière des fûts, c'est plus jouissif encore que de le voir Foo. 
enfn, ce concert là, ces deux danseurs qui étaient à un mètre de la légende, pull de grand-père troué, il me faut le même sans les trous bien sûr, et le grand Novoselic, pieds nus, qui se balance, bon sang, dire qu'ils passaient dans des petites salles de banlieues parisiennes, j'avais que 10 ans. 
la déception, un peu. mais la fierté aussi. bien sûr, je suis passée par la dance, et j'adore l'idée, encore aujourd'hui (me faire une satanée soirée We are the Nineties, bordel !), mais j'ai vu tout ça, la naissance de ces groupes, mes groupes. je suis née au Bataclan, Suede, au Zénith, à l'Elysée Montmartre bien sûr. bien sûr, je suis nostalgique.
aujourd'hui, c'est de la redite, un peu, alors, je le veux bien, c'est certain, le dernier live de System, par exemple, était diablement bon, mais l'attente est moindre, l’excitation des débuts... c'est plus vraiment là.
enfin, je dis ça, je vais bientôt voir le Stupéflip pour la première fois, tout de même, et ça me met en joie. du grand n'importe quoi. j'ai besoin de ça. ça ne s'arrêtera jamais.
ah, je vais voir Lana Del Rey, aussi. tout le monde est dessus, c'est vrai, c'est pas genre, LA découverte.
mais quand même, si, un peu.
et si Woodkid pouvait passer par Paris, tant qu'on y est, parce que Berlin, New York, c'est bien, oué, Bruxelles (et je suis pas encore en Belgique...),... et Caen.
quelle idée, merde.














































[LISTENING TO : Waiting room, from the album 13 Songs - FUGAZI]